Fic: Pourquoi?

Bon, je me lance dans les fics. Le début est assez déprimant vu que je l'ai écrit pour me sortir d'une grosse baisse de moral. Et personnellement, je trouve aps que j'écris vachement bien... Une dernière petite chose: ce ne sera ni Smarty ni du Jack/Sam.


Cela faisait maintenant 2 heures qu’elle m’avait annoncé cette nouvelle qui avait réduit à néant toute ma vie. 3 mots et mon monde s’écroulait. 3 simples petits mots insignifiants. Je ne crois pas que j’aurai un jour cru ça d’elle. Elle, enceinte ! Comment cela est-il arrivé et surtout comment cela est-il possible ?
Je sais que je dois tourner la page. Aujourd’hui, ça fait en effet 3 ans 2 mois et 5 jours que je l’ai quittée. La plus grosse bêtise de toute ma vie !! 3 ans que je souffre de la voir tous les jours sans jamais pouvoir la prendre dans mes bras ni lui dire encore et encore mes sentiments. Je me doutais bien qu’un jour (tôt ou tard), elle rencontrerait l’homme de sa vie. Mais jamais au grand jamais, je n’aurai cru qu’elle accepte de porter son enfant. Elle qui m’avait juré qu’elle ne ferait jamais partie du modèle : 2,2, barrières blanches et labrador. Elle qui m’a toujours dit qu’elle n’était pas faite pour avoir des enfants. Aujourd’hui, c’est elle qui en attend un. J’ai l’impression qu’elle n’a jamais cessé de me mentir. Je sais pertinemment qu’entre elle et Jack, c’est une histoire sans fin. Cependant, dans mon subconscient romantique, je voulais et désirais avoir une chance avec elle. L’amour que j’éprouve pour elle m’aurait fait déplacer des montagnes mais je devine à ce jour que cet amour m’a surtout rendu aveugle, sourd et stupide. Le proverbe disait vrai pour une fois changer.
Cette annonce, je ne sais pas si je m’en remettrai un jour. Elle me détruit lentement mais sûrement depuis plus de 2 heures maintenant. Lorsqu’elle me l’a annoncé, nous étions seuls, tous les 2, dans la salle de repos. Il n’y avait pas de disparitions signalées et la dernière affaire s’était plutôt bien déroulée. Apparemment, j’étais le dernier à ne pas être au courant de son état. Après m’avoir annoncé cette surprenante nouvelle (je devrai plutôt dire, cette déchirante et apocalyptique nouvelle), elle est partie sans un regard. Danny est venu me rejoindre dans la salle. Il voulait se faire un café mais je savais bien qu’il venait pour voir comment j’allais. Il a essayé par tous les moyens de me rendre le sourire. Mais même ses célèbres sourires et ses blagues n’y ont rien fait. Sourires et blagues auxquels personne (pas même moi) ne résiste. Alors que d’habitude, un sourire de lui et le moral est de retour.

Martin : Danny, je rentre chez moi comme il est de toute façon 17h et qu’aucune disparition n’a été annoncée. S’il y a quoique ce soit, dit à Jack que je serai joignable sur mon GSM.
Danny : Bro, tu es sûr que ça va ? Tu ne veux pas que je te raccompagne chez toi ? Tu es sûr d’être en état de savoir rouler ? Dit-il en me mettant une main sur l’épaule et en envahissant mon espace personnel comme à son habitude.
Martin : c’est bon Danny, je vais bien. Je suis juste un peu fatigué, c’est tout.

Sur ces quelques mots, je me suis littéralement enfoui du bureau pour me réfugier dans la voiture tout en essayant de garder la tête haute. Je voyais bien que tout le monde me regardait d’un air compatissant. J’ai alors atteint ma voiture, ai sauté dedans et j’ai mis le moteur en marche. A partir du moment où j’ai quitté le garage, les larmes n’ont pas arrêté de perler sur mon visage.

A suivre

wahou j'ai hate de lire la suite

Thanks Lucie.
Un tout petit bout alors.

Le lendemain matin au QG du FBI, New-York, section des portés disparus.

Danny, Vivian, Elena et Sam discutaient comme tous matins mais aujourd’hui le sujet était différent. En effet, Vivian et Elena donnaient différents conseils à Sam sur la maternité et sur la grossesse. Bien évidemment, Danny ne pouvait s’empêcher de charrier un peu Sam :
Danny : Alors comme ça on a fait un bébé toute seule !! dit-il en haussant les sourcils et en insistant bien sur le « toute seule ». Le plus drôle dans l’histoire c’est que tu vas devenir une vraie baleine dans quelques mois. Mais je te rassure, tu seras toujours ma baleine préférée. Tout en lui disant cela, il se penche vers elle pour lui donner un baiser sur la joue. Sam fait semblant de se laisser faire et en profite pour lui asséner un bon coup de coude dans l’estomac.
Mais aieuh, ça fait mal.

Sur ces entrefaites, Jack arrive avec sa tête des mauvais jours.
Vivian : Ne me dis pas qu’on a une nouvelle disparition ?! On vient à peine de boucler la dernière et la paperasse n’est même pas encore finie !!!
Jack : Non, ce n’est pas ça, mais j’ai une quand même mauvaise nouvelle à vous annoncer.
Tous le regardent incrédules, se demandant ce qu’il allait bien pouvoir leur annoncer.
Danny : Ca a l’air grave. On n’attendrait pas que Martin arrive ?
Jack : C’est inutile, il est déjà au courant de toute l’affaire.
Sam : Que se passe-il ? Victor a pris sa retraite et un nouveau directeur a pris sa place ?
Tous éclatent de rire sauf Jack dont le visage se marque de plus en plus.
Elena : Apparemment ce n’est pas ça. Mais c’est vrai que ne plus avoir Victor dans les pattes serait un énorme bienfait pour nous tous.
Jack : C’est bon, vous avez fini !! dit-il en élevant la voix.
Vivian : Ok, Jack, tu as raison. Vas-y. Dis-nous ce qui te tracasse !
Jack : Martin est passé me voir ce matin dans mon bureau.... il démissionne.
Danny, interrompant Jack : Quoi, mais c’est pas possible. Pourquoi ferait-il une chose pareille ! Non, ne dit rien, j’ai compris. Dit-il tout en jetant un regard noir à Sam.
Jack : Dannyboy, calme-toi. Si tu m’avais laissé terminer ma phrase, tu saurais que Martin n’a donné aucune raison à cette décision subite. Il m’a juste dit qu’il y réfléchissait déjà depuis quelques temps. Et que son père lui a proposé une place à Washington où il pourra être près de sa mère qui a quelques ennuis de santé.
Danny : Et tu l’as cru !! Tu sais très bien que JAMAIS il n’accepterait une proposition de la part de son père.
Jack : C’est bien pour cette raison que je te donne ta journée, vas le voir et ramènes ce grand imbécile directement au bureau. Compris ?
Danny : Bon, les filles, je vous laisse. Le devoir m’appelle. Jack, compte sur moi et je te tiens au courant. Bye tout le monde, amusez-vous bien avec la paperasse. Et il s’éloigne non sans avoir lancé un de ses célèbres sourires.

Elena : Ah non, c’est pas juste. Pourquoi on se taperait sa paperasse ? Il y en a vraiment qui ont de la chance.
Jack : Elena, tu as le choix : soit c’est partager la paperasse avec les autres ou bien c’est les archives ? Alors, tu préfères quoi ??
Elena : Ah non, tout mais pas les archives. Je me mets de suite au travail chef. Sur ce, elle se lève et se dirige vers son bureau où l’attend une pile monumentale de papier.
Jack : C’est bien ce qu’il me semblait. Vivian, tu aides Elena. Vous ne serez pas trop de 2. Et Sam, il se tourne vers elle, dans mon bureau, j’ai à te parler..
Sur ce, Jack s’en va. Sam se lève pour le suivre et jette un dernier regard à ses 2 collègues non sans leur souffler : Vous avez une idée de ce qui se passe ??
Vivian : Pas la moindre, mais à ta place, je me dépêcherais si tu ne veux pas essuyer ses foudres.

A suivre...

c génial !

Merci.
Désolé de pas mettre souvent des suites mais je suis un peu débordée en ce moment. Je ne sais pas du tout si j'aurai l'occasion de la continuer avant début février vu que mes examens sont ma priorité. Mais je la finirai, promis.
Donc, voici un petite suite. Et je sais pas du tout où mon délire va me mener.

Dans le bureau de Jack :

Sam passe sa tête par la porte, à la fois curieuse et anxieuse. Elle n’a absolument aucune idée de ce qu’il lui veut.
Jack : Entre Sam et assieds-toi.
Sam entre et prend place dans le divan en cuir noir.
Voilà, comme tu es maintenant enceinte de trois mois, tu ne pourras plus aller si souvent que ça sur le terrain.
Sam : Quoi ! Mais Jack, pour quelles raisons ? Même le gynéco a dit que ça irait pendant encore bien deux mois. Pourquoi me fais-tu ça ?
Jack : Sam, ne le prend pas comme ça. C’est le bureau qui l’a décidé. Si ça avait été Elena ou Vivian, j’aurai agi pareil. Alors, à partir d’aujourd’hui, tu ne pourras plus aller sur le terrain que pour interroger les familles des victimes. Le reste du temps, tu seras au bureau pour répondre au téléphone et t’occuper des papiers.
Sam, qui enrage intérieurement : Ok, Jack. Elle ajoute tout bas et d’une voix acide: Tu perds rien pour attendre.
Jack : Sam, je t’ai entendu et tu sais très bien que je fais ça pour ton bien. Tu es enceinte ! Tu ne te rends pas compte ? Tu porte la vie, et par pure fierté tu ne veux pas limiter un maximum les risques de lui faire du mal, avant même qu’il ne soit né ?
Sam lui jette un regard noir mais ne dit mot.
Jack : Une dernière chose, les autres sont au courant de ton état ?
Sam : Oui, j’ai mis Martin au courant. Et il était le dernier à encore l’ignorer. La direction le sait aussi. Bon, c’est tout ?j’ai du travail, moi ! Sur ce, elle s’en va non sans bousculer une jeune stagiaire qui du coup laissa tomber tous les dossiers qu’elle transportait.

Appartement de Martin Fitzgerald

Par miracle, Danny a trouvé une place juste devant le building de Martin. Un coup de bol comme ça, ça n’arrive pas souvent surtout dans ce coin-là de la ville. Il sort de la voiture et se dirige directement vers la porte d’entrée. Il sonne chez Martin. Plusieurs fois. Il attend bien 5 minutes mais ce dernier ne répond pas. Il s’obstine mais toujours pas de réponse.
Mais qu’est-ce qu’il fout ? Ne me dis pas qu’il est parti à Washington. Il essaye alors sur le téléphone fixe. Mais, au bout de 5 sonneries, il atterrit sur la boîte vocale :
« Vous êtes bien chez Martin Fitzgerald. Je ne suis pas là pour le moment mais laissez un message. Si c’est urgent, essayez sur mon GSM. Laissez le message après le bip sonore biiip »
« Martin, c’est Danny. Je suis au bas de chez toi, je me les gèle alors ouvre moi cette foutue porte immédiatement ! Bouge tes fesses ! ..... N’oublie pas, je suis moi aussi un agent du FBI. Il me suffit montrer mon badge au concierge pour que ce dernier me déroule le tapis rouge et sur un plateau d’argent me donne le double de ton appart. ........ Alors, fais pas l’imbécile et ouvre cette putain de porte. J’ai besoin de te parler. Tu ne crois quand même pas que je vais laisser partir mon meilleur ami sans qu’il ne m’ait au moins donné une raison valable pour au revoir. Marty, je sais qu’...» Et merde, le message est trop long. Bon, j’essaye sur son G. Et après ça, je rentre de force chez lui.
« Martin Fitzgerald n’est pas disponible pour le moment. Si c’est le bureau et que c’est urgent, essayez le portable de Danny Taylor. Sinon, laissez un message après le bip sonore. Biip»
« Martin, c’est Dan. Qu’est-ce que tu fous ? Jack m’a dit que tu as donné ta démission, je peux savoir pour quelle obscure raison ??? Et surtout, je ne te crois pas quand tu dis que ton père t’a trouvé une meilleure place. Je te connais et je sais très bien que jamais tu n’accepterais une place que l’on te donne parce que tu es le fils de ton père. Très profond ça, le fils de ton père. Qui l’aurait cru ? Rire. Bon, d’accord, c’est pas drôle mais... » Mais purée, les répondeurs ont vraiment envie de me casser les pieds aujourd’hui.
« Vous...Biip »
« Marty, c’est remoi. Bon, je vais essayer d’être concis cette fois-ci. Ca va pas être facile. Je vais monter chez toi, que tu le veuilles ou non. Tu vas me dire clairement ce qu’il s’est passé dans ta petite tête de borné pour prendre une décision aussi subite. Si tu n’es pas chez toi, je parviendrai à te retrouver. N’oublie pas que je retrouve des disparus tous les jours. Alors, que ce soit toi ou un autre, c’est du pareil au même. »
Danny raccroche son GSM et sonne chez le concierge. Celui-ci vient à la porte, l’ouvre :
Concierge : Oui, c’est pour quoi ?
Danny : Bonjour Monsieur. Agent spécial Danny Taylor, FBI. Il montre son badge et le vieux monsieur acquiesce
Concierge : Que puis-je faire pour vous aider monsieur Taylor ?
Danny : Martin Fitzgerald habite bien dans cet immeuble, n’est-ce pas ? Ok. C’est un de mes collègues et il ne répond pas au téléphone ni à l’interphone. Auriez-vous la gentillesse de m’ouvrir la porte de son appartement ?
Concierge : Pas de problème. Je vais chercher les doubles de ses clefs et je vous les donne de suite. Suivez-moi.
Le concierge fait entrer Danny dans l’immeuble que Danny connaît si bien. En effet, le samedi, lors de leurs longues soirées (ce qui n’arrive pas si souvent que ça vu leur horaire chargé), il avait pris l’habitude avec Martin de regarder le match de baseball. Cette tradition n’avait pas changé malgré le fait que Danny soit maintenant en couple avec Elena. Sa soirée du samedi soir était aussi précieuse que ses réunions aux AA. Le concierge revient et lui donne les clefs.
Concierge : Voilà monsieur Taylor. J’espère qu’il n’est rien arrivé à votre collègue. Il est si gentil. Il avait toujours l’habitude de nous emmener faire les courses, moi et ma femme quand il ne travaillait pas.
Danny : Merci monsieur. Je vous les rends dès que j’ai fini. Mais ne vous inquiétez pas, je suis sûr qu’il ne lui est rien arrivé de grave.
A lui-même : Martin, mais quel boyscout tu fais. Ca ne m’étonne pas de toi ça tiens. Toujours là pour rendre service.


A suivre...

j'adore c'est super

si tu ne met pas la suite : je vais faire un meurtre!

Alors, désolé pour le retard mais la suite arrivera à mon retour de Rome. C'est-à-dire, le 1er février. Mais promis, elle arrive. Mes examens, ayant été ma priorité, je n'ai pas su la continuer. Donc, Pauline, oui, tu es en droit de faire un meurtre. Surtout avec ce que je prévois. Enfin, je dis rien.

Pour ceux que ça intéresse encore..., voici la suite. Et encore désolée pour la longue attente sans suite.

Sur ces dernières phrases, Danny grimpe les escaliers jusqu’au 3e étage. Cette ascension lui rappelle cet échange entre lui et Marty à propos des vampires et des appartements inférieurs.

Flash-back
« (Danny et Martin dans les escaliers) :
Danny : Ca en fait 3. Il ne reste plus que 2 étages.
Martin : Mais pourquoi ceux qui n'ont pas d'ascenseur n'habitent jamais au 1er ou au 2ème ?
Danny : Les vampires.
Martin : Vraiment ?
Danny : Ils se gardent toujours les appartements du bas pour eux.
Martin : Pas trop ensoleillés, c'est ça ?
Danny : Exactement ! En plus comme ils vivent 160 ans, ces appartements sont rarement libres.
Martin : C'est bon à savoir. »

Danny est enfin arrivé à l’étage de Martin. Il se dirige vers sa porte quand il entend un coup de feu. Non, mais c’est pas vrai, ne me dis pas que... C’est alors qu’il se ressaisit et comprend que ce n’est que l’ascenseur. Un ascenseur du début du siècle passé, non huilé, fait en effet, beaucoup de bruit. Arrivé devant cette porte qu’il connaît si bien, trop bien, il frappe. Il attend un peu mais pas de réponse. Il recommence.
« Martin, c’est Danny. Je sais que tu es là, alors ouvre cette porte. Je dois te parler. »
Aucune réponse
« Martin, ne fais pas l’imbécile. »
Toujours pas de réponse
« Bon, Marty, je te préviens,…j’ai les clefs, ne m’oblige pas à les utiliser….. à 3 je rentre : 1, ... 2, ... 2 et demi..., 2 trois quart... et 3. Martin, tu l’auras voulu »
Danny met alors la clef dans la serrure. La porte s’ouvre. Rien, il n’y voit rien, l’obscurité totale. Sa main tatonne le long du mur à la recherche de l’interrupteur. Il allume.
« Martin, t’es où ? C’est Danny. Martin, s’il-te-plaît, arrête de jouer à cache-cache on n’est plus des gamins ».
C’est alors qu’il entend un léger souffle, comme un halètement. Quelqu’un est en train de souffrir le martyr. Et ce bruit provient de la salle de bain. Danny s’y précipite. Il approche son oreille de la porte. Oui, il entend bien une très faible voix qui souffle son nom ainsi que des pleurs. Il n’hésite plus et ouvre la porte en grand. Comme il s’y préparait, Martin était là, cependant, pas dans l’état auquel Danny s’attendait.
Il se précipite au bord de la baignoire et en sort un Martin sans force, tout tremblant. Il se dirige vers la chambre en tenant toujours fermement son meilleur ami dans ses bras. Il dépose ce dernier sur son lit et lui caresse doucement le front.
Danny : Martin, calme-toi. Tout va bien se passer. Surtout ne bouges pas.
Martin : Dan
Danny : Chuuut, Marty, calmes toi.Je suis là, tout va bien se passer. Je vais chercher de quoi bandager tes poignets et je reviens de suite.
Danny court alors chercher la trousse de secour dans la salle de bain et reviens le plus vite possible au chevet du blessé.
Tiens, mets ça autour de tes poignets et comprimes le temps que j’aille appeler à l’aide. Dit-il d’une voix la plus réconfortante possible pour cacher autant qu’il le pouvait sa colère. Tout disant cela, il passe ses doigts dans les cheveux de son jeune collègue qui se laisse faire et obéit.
Martin : Dan, je ne voulais pas, je t’assure.
Danny : C’est bon, calmes-toi. J’ai mon idée sur les raisons qui t’ont poussées à faire ça. Ca va aller. Laisse-moi juste allez appeler à l’aide.
Sur ce, Danny se relève, sort de la chambre et compose le 911.
911 : 911, numéro d’urgences, j’écoute.
Danny : Mon meilleur vient d’essayer de se suicider ; il s’est ouvert les veines. Je l’ai sorti de du bain, et je lui ai soigné les poignets pour arrêter le saignement mais il est très faible. Dépêchez-vous !
Danny était de plus en plus paniqué au fil de la conversation et sa voix le trahissait.
911 : Une ambulance vient de partir pour venir le chercher. Calmez-vous, tout va bien se passer. Faites-en sorte qu’il ne s’endorme pas. Il doit rester conscient et faire le moins d’effort possible. Et surtout gardez un œil sur lui.
Danny : Je vais faire ça. Merci beaucoup.
Sur ces derniers mots, il raccroche violement et se précipite à nouveau dans la chambre.

To be continued...